Voici comment cette femme a opéré pour payer qu’à 1 € ses courses de 1040 €

La rédaction
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Voici comment cette femme a opéré pour payer qu'à 1 € ses courses de 1040 €
Voici comment cette femme a opéré pour payer qu'à 1 € ses courses de 1040 € !-© Getty images

Une technique bien huilée certes, mais qui n’est pas passé inaperçue ! Voici comment elle a opéré pour payer qu’à 1 € (pour dire vrai qu’à 88 centimes) son panier de courses valant 1040 € ! L’équipe rédactionnelle de cafebabel.fr vous raconte tout dans les détails.

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Voici comment cette femme a opéré pour payer qu’à 1 € ses courses de 1040 €

Cette histoire donne l’air d’être une plaisanterie mais ça n’en est pas une ! Si cette mère de famille pensait pouvoir berner tout le monde au Géant de Monthieu à Saint-Etienne, elle semble avoir fait un mauvais calcul.

Avant qu’elle ne puisse aller plus loin, la quadragénaire s’est fait attraper par les vigiles du supermarché.

Le moins que l’on puisse dire, c’est que son arnaque a été bien rôdée. Ce jour-là, elle était — à l’instar de tous les clients qui étaient présents dans les lieux — entrée dans le supermarché sans se faire remarquer.

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La dame d’environ une quarantaine d’années était venue faire les courses avec sa fille de 14 ans.

Elle se servait de l’application Scan Express sur son téléphone, service offert par l’enseigne.

Si la mère de famille a pris soin de scanner l’intégralité des articles avec lesquels elle remplissait son caddie de courses, elle n’a finalement validé qu’un seul d’entre eux.

« Elle a annulé tous les produits », « notamment des produits alimentaires et des cosmétiques », peut-on lire dans Le Progrès.

Elle a choisi l’article à 0,88 €. Une chose est sûre, elle s’est montrée un peu trop gourmande pour une personne qui n’avait pas l’intention de payer ses courses.

Elle s’est fait arrêter avant même d’avoir eu le temps d’aller un peu plus loin.

Comme si de rien n’était, la cliente a pris le chemin qui mène vers la caisse automatique pour régler sa note. Tandis qu’elle pensait pouvoir quitter les lieux incognito, la roue a tourné. Elle a été interpellée par les agents de sécurité des lieux.

Comme précisé dans les colonnes du Républicain Lorrain, « des contrôles ciblés ou aléatoires sont évidemment prévus pour éviter la fraude ».

De plus, les vigiles l’avaient déjà dans le viseur. Son visage n’était pas inconnu des employés du magasin. Elle avait déjà eu des antécédents loin d’être élogieux.

La mère de famille condamnée à payer tout le contenu de son chariot.

La mère de famille a été poursuivie pour vol en réunion selon la police, qui l’a arrêtée et placée en garde à vue. Elle a été remise en liberté avant la date du procès. Elle a en outre, accepté de payer la totalité de ses achats.

Cette histoire n’est pas sans rappeler un fait qui a eu lieu au sein de l’hypermarché Carrefour de Thionville.

Trois sœurs prises en flagrant délit à l’hypermarché Carrefour de Thionville.

Deux sœurs se sont faits le malin plaisir de remplir copieusement leurs chariots à l’hypermarché Carrefour de Thionville. Si l’idée leur a traversé l’esprit, c’est parce que leur sœur y travaille comme caissière.

Selon toujours le Républicain Lorrain, la caissière de 23 ans n’a retenu que 30 € alors que le chariot de courses de ses sœurs s’élevait à 2 900 €. Ces dernières ont fait usage d’une scannette, une sorte de lecteur de code-barres portable.

Tandis que les deux sœurs allaient ranger leurs courses dans le coffre de la voiture de leur sœur caissière. Le vigile était alerté par le fait qu’elle n’avait avec elle, qu’une seule scannette.

Comme vous l’aurez compris, elles ont toutes les trois été prises en flagrant délit. La caissière mosellane était déjà en fin de contrat.

« Son contrat se terminait. Elle s’est laissée entraîner dans cette situation qu’elle n’a pas été en mesure de stopper », confie l’avocate des principales intéressées.

« Ce sont mes sœurs qui en ont eu l’idée, admettait-elle. Au début, je ne voulais pas. Puis j’ai fini par céder pour des produits alimentaires uniquement ».

« Sur les 2 900,75 € de marchandises, il n’y avait que 300 € de denrées alimentaires », lui rétorque le président du tribunal Eric Lambert.

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