C’est à Zarzis, dans un hôtel quatre étoiles, sous le soleil tunisien, que Daniel Feller a décidé de couler sa retraite. En optant pour la formule « all inclusive », ce retraité de 64 ans profite exclusivement des restaurants, des plages et plusieurs activités de tous genres. Très satisfait, il raconte sa toute nouvelle vie…
Cet homme a choisi de partir à l’étranger pour une retraite paisible
Le passage à la retraite, qui marque la fin de la vie active, peut être une période difficile, et certaines personnes la vivent plus durement que d’autres.
Conscient de cette réalité, Daniel Feller, un retraité belge âgé de 64 ans, a fait un choix radical en décidant de s’éloigner de sa ville natale, Arlon, en Wallonie.
« J’en avais ras-le-bol de la Belgique…Le manque de soleil est aussi pesant », affirmait-il pour expliquer son choix.
« J’ai une chambre et suis logé, nourri, blanchi à l’année… » dans un hôtel 4 étoiles… « Que du bonheur »
Propriétaire d’une salle de réception, il a fait jouer ses relations et a réussi à s’installer dans un hôtel de luxe en Tunisie, classé quatre étoiles. Il y réside pour un montant modique de moins de 1000 euros par mois et bénéficie de nombreux avantages.
« J’ai une chambre et suis logé, nourri, blanchi à l’année (…). Et le ménage est fait tous les jours. Que du bonheur ! », racontait-il avec joie, soulignant son amélioration de santé dans son nouveau pays d’accueil, où des médecins viennent même le prendre en charge directement dans son palace.
Vivre confortablement avec une pension mensuelle de seulement 1300 euros
Durant son temps libre, Daniel Feller s’adonnant à diverses activités comme entraîner des gardiens de football. Des extras qui lui rapportent environ 200 à 300 euros par mois.
Ajouté à sa pension mensuelle de 1 300 euros, cela permet au sexagénaire de vivre plus confortablement tout au long de l’année.
Aucun risque d’avoir le mal du pays…
Une vie de rêve loin de la monotonie de la Belgique. Ce retraité, déclarant en avoir marre de « l’État, la manière dont on ne se soucie pas des indépendants, dont on ne les protège pas », ne souffrirait pas du mal du pays.
« Quand je rentre ici, je suis malheureux, car la vie est beaucoup trop chère en taxes », témoignait-il. Et « le contraste est saisissant » avec la Tunisie où tout le monde a le sourire, poursuivait le retraité belge.
Profitant de la restauration de son hôtel, « on ne peut pas s’ennuyer, aucune journée ne se ressemble », surenchérit-il.