Ces secrets les plus étonnants que les employés des pompes funèbres préfèrent garder pour eux

Ces secrets les plus étonnants que les employés des pompes funèbres préfèrent garder pour eux

La rédaction
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Durée de lecture : 5 minutes
Ces secrets les plus étonnants que les employés des pompes funèbres préfèrent garder pour eux !-© Shutterstock

Des révélations glaçantes ! Découvrez ces secrets les plus hallucinants que les employés des pompes funèbres gardent souvent pour eux. cafebabel.fr vous prévient d’avance : tenez-vous bien car plus d’un risque d’être choqué… Les âmes sensibles feront mieux de s’abstenir.

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Le métier de croque-mort, une profession pas comme les autres !

Ce travail n’est visiblement pas fait pour tout le monde, et ce n’est guère surprenant, car il est tout sauf ordinaire.

Les employés des pompes funèbres mènent une routine pour le moins mouvementée. La preuve ?… Il va falloir poursuivre votre lecture pour connaître les détails.

Parmi les métiers les plus entourés de préjugés, on retrouve sans aucun doute possible, celui de croque-mort. Pourtant, ce sont justement ces professionnels qui accompagnent le défunt et ses proches durant tout le processus funéraire.

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Dans ce contexte-là, vous devez savoir que les croque-morts sont témoins de situations parfois « surréalistes » et entendent des histoires hors du commun.

Des épisodes et des mystères souvent gardés sous silence que nous dévoilons aujourd’hui.

Ces secrets les plus étonnants que les employés des pompes funèbres préfèrent garder pour eux

Vol sur les morts.

Peut-être ignoriez-vous qu’il existe des cas de croque-morts impliqués dans des actes de vol sur les défunts qu’ils étaient censés accompagner dans leur dernier repos.

En 2012, rappelle Gentside, deux individus ont été arrêtés près de Paris, dont l’un était fossoyeur et l’autre employé des services funéraires de la Ville de Paris.

Ces deux hommes auraient dépouillé « une dizaine de dents en or » provenant de personnes décédées.

Les croque-morts collent la bouche du défunt

Saviez-vous que lors des soins de conservation, le thanatopracteur doit coller les yeux et la bouche du mort afin d’éviter le desséchement des muqueuses ?

Afin de préserver l’apparence naturelle, des « lentilles discrètes » peuvent être employées pour les yeux, bien que parfois les paupières puissent être collées ensemble.

Pour ce qui est de la bouche, elle peut être maintenue fermée à l’aide d’une suture, d’un mince fil ou même d’un point de colle. Ce sont certainement des détails qui ne vous seraient jamais venus à l’esprit !

Saviez-vous que les morts se font aussi masser ?

Lors des soins post-mortem, dont notamment la toilette mortuaire, le mort doit être massé !

Pour lui redonner une apparence proche de celle qu’il avait de son vivant, il faut repositionner certains membres (bras, jambes, doigts).

En plus de cela, il faut aussi faire sortir une expression de tranquillité sur le visage de la personne décédée.

Il peut également être nécessaire pour l’embaumeur de masser le corps afin de répartir uniformément les fluides dans l’organisme.

Enfiler les vêtements à un mort, un sacré parcours !

A cause de la rigidification du corps après la mort, habiller le cadavre relève d’un véritable parcours de combattant. Dans certaines situations, les croque-morts se voient contraints de déchirer l’arrière des vêtements pour y parvenir.

Le corps des morts fait parfois du bruit !

Pendant que tout le corps se met à décomposer, il est inévitable que certains gaz s’échappent naturellement, que ce soit par la bouche ou d’autres orifices.

Ainsi, il arrive que les professionnels en charge des défunts puissent entendre un léger souffle provenant du défunt. Il faut vraiment une bonne dose de courage pour faire ce métier.

Les os du défunt brisés et « broyés »

Pour loger certains corps dans des cercueils, il est parfois indispensable de fracturer des os, en particulier les omoplates, voire les doigts afin qu’ils reposent croisés sur le ventre du défunt.

Que deviennent ensuite ces os après la crémation ? « Oui, nous broyons vos os », explique Caitlin Doughty dans son ouvrage « Chroniques de mon crématorium« . Un livre à lire pour les adeptes d’anecdotes croustillantes autour du thème.

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