L’homme aux lunettes bleues a été notamment connu du grand public grâce à sa prestation à l’antenne de France 2, depuis la salle de ventes de l’émission d’enchères Affaire Conclue. Celui qui est très ami avec Pierre-Jean Chalençon comptait parmi les acheteurs réguliers du programme de fin d’après-midi de la Deux durant quatre longues années avant qu’il n’ait décidé brutalement d’arrêter l’aventure. Après 1557 émissions, l’ancien acheteur mène ses nouveaux projets entrepreneuriaux loin du petit écran. Face au montant de sa retraite, Julien Cohen a bondi. Il n’a pas manqué de s’emparer de son fil Instagram ce 11 juin 2024 pour monter au créneau… CafeBagdad vous raconte tout.
Julien Cohen : l’ex-acheteur d’«Affaire conclue» (France 2) ulcéré par le montant de sa retraite, « On me remercie avec seulement… »
« Ma femme a reçu des papiers en prévision de sa retraite plus tard. Et du coup, elle me dit : ‘Toi, t’as pas fait maretraite.com ou je ne sais pas quoi’. Je vais dessus. Et ô miracle, donne-t-il le ton, le montant de ma retraite apparaît ».
« Le montant de ma retraite bien évidemment, si j’ai tous les trimestres », souligne Julien Cohen. Et puis je regarde ma femme comme ça, et je lui dis : ‘Si je suis à la retraite, je vais toucher 1400 euros‘ », déplorait-il.
« C’est quand même assez incroyable (alors que) j’ai créé plus de 2000 emplois »
Le brocanteur ne cache pas être sous le choc. « Alors bien évidemment, vous voyez tout ce que je fais à côté, je n’ai pas besoin de cet argent« , assurait-il. Mais c’est quand même assez incroyable, ne pouvait-il s’empêcher de réagir.
« Je crois avoir créé plus de 2000 emplois avec ma femme au cours des vingt dernières années. Avoir donné envie à certains de mes salariés de devenir des entrepreneurs. (…) Et on me remercie avec 1400 euros« , s’emportait celui qui s’est actuellement lancé dans Les maisons des brocanteurs.
L’ancien acheteur choqué
Si 1400 euros semblent effectivement déjà beaucoup face à des pensions de retraites de l’ordre de « 300 ou 400 euros« , Julien Cohen ne se sent vraiment pas estimé à sa juste valeur.
« Ça a été le fruit d’une prise de risques colossal «
« Il me manque plein de trimestres car quand une boîte ne va pas bien, (…) je suspendais mon salaire. Quand on lance une boîte, pendant les deux, trois premières années, on n’a pas de salaire. (…) Je n’ai pas eu qu’une vie facile. A savoir que quand j’ai créé des boîtes quand j’avais 20/25 ans, si je n’avais pas eu le backgammon pour compenser mes maigres revenus, je n’aurais pas pu vivre. Mais ça a été le fruit d’un travail et d’une prise de risques colossal « , terminait-il sa petite intervention sur Instagram.