Diane Leyre a visiblement fait des déçus après son échec cuisant après la 72ᵉ édition du Concours Miss Univers qui s’est tenue le 18 novembre 2023 à San Salvador. Harcelée, la Parisienne de 26 ans lance un cri du cœur… L’équipe rédactionnelle de cafebabel.fr vous raconte tout dans les prochaines lignes de ce nouvel article.
Sheynnis Palacios, Miss Nicaragua, succède à R’Bonney Gabriel.
Miss Nicaragua, Sheynnis Palacios a été élue Miss Univers 2023 parmi les 84 candidates en compétition. La jeune femme de 23 ans succède à R’Bonney Gabriel, l’Américaine élue Miss Univers 2022 le 14 janvier 2023 à La Nouvelle-Orléans, aux États-Unis.
Miss Thaïlande et Miss Australie ont été sacrées respectivement première et deuxième dauphines du concours de beauté. « Le bilan, rappelle Le Parisien, est beaucoup moins réjouissant pour la France« .
Alors qu’elle figurait parmi l’une des favorites du concours, la Française Diane Leyre, Miss France 2022, n’est finalement pas parvenue au Top 20. Un résultat qui n’est pas sans rappeler le cas de Floriane Bascou. Celle qui avait représenté la France à l’édition précédente, elle aussi, n’a pas été classée.
Diane Leyre harcelée : son cri du cœur face aux attaques après son échec à Miss Univers
Cela n’a toutefois pas empêché Diane Leyre de repartir de l’élection la tête haute. Si Iris Mittenaere, Miss France et Miss Univers 2016, n’a pas manqué de la soutenir, les internautes ne lui ont pas fait preuve de leur soutien. Au contraire, beaucoup lui ont pointé du doigt. D’autres sont allés même plus loin.
Interviewée ce lundi 20 novembre par TV Magazine, la protégée de Sylvie Tellier est revenue sur la vague de haine en ligne dont elle en était victime après son passage préliminaire au concours de Miss Univers 2023.
« Je compte rebondir en utilisant cette expérience comme une force, révélait-elle. J’aimerais avoir un discours sur plusieurs sujets car, après le Preliminary Show, j’ai été victime de cyberharcèlement« , affirmait Diane Leyre, en dénonçant la « grande vague de haine » qu’elle a subie.
« Je pense qu’il faut en parler » !
« Je pense qu’il faut en parler, estime la reine de beauté. J’aimerais aussi m’exprimer sur l’échec et le fait de savoir rebondir », surenchérit-elle.
« Je pense que, dans chaque échec, il y a quand même une réussite, des leçons et de bonnes choses à tirer. Je pense que ça va être important aussi de pouvoir partager ça avec les gens et de voir comment réussir à rester toujours positif », détaillait celle qui a remis son diadème à Indira Ampiot.
« Quoi qu’il arrive, assure Diane Leyre, je suis gagnante de mon titre, je suis hyper-fière de rester Miss France à vie. Miss France est un tremplin qui est énorme. Donc je ne repars pas en me disant que j’ai perdu, je ne suis pas une perdante », conclut celle qui avait succédé à Amandine Petit.
Une année synonyme de modernité pour l’emblématique concours.
Cette année, le concours Miss Univers accueillait pour la toute première fois des femmes mariées ainsi que des mères, alors que cela était catégoriquement interdit depuis 1957.
Michelle Cohn, du Guatemala, et la Colombienne Maria Camila Avella étaient les deux premières mamans à participer. La seconde faisait même partie des cinq finalistes du concours.
« Je pense que le plus important dans la vie, c’est l’équilibre entre la vie personnelle et professionnelle et quand vous avez cela vous pouvez faire toutes les choses merveilleuses qui arrivent dans votre vie. Je suis très heureuse et très fière d’être une femme, une mère, une épouse et maintenant une reine de beauté. On casse des stéréotypes !», confie Camila Avella.
«Elle a aussi une petite fille de deux ans et demi et un garçon un peu plus âgé, faisait-elle allusion à Michelle Cohn. Je suis moi-même impressionnée, je me demande comment elle y arrive avec deux petits, moi je n’en ai qu’une et ce n’est pas simple ! ».
« On ne limite plus les rêves des femmes(…) Cette année, nous avons des transgenres, des femmes mariées, des mères de famille », se réjouissait Anne Jakrajutatip, nouvelle propriétaire du concours.