Affaire conclue : ambiance électrique entre ce vendeur têtu et les acheteurs, il refuse la vente

Affaire conclue : ambiance électrique entre ce vendeur têtu et les acheteurs, il refuse la vente

La rédaction
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Affaire conclue : ambiance électrique entre ce vendeur têtu et les acheteurs, il refuse la vente !-© France 2

Vexé par les acheteurs, le vendeur Frédéric repart avec son œuvre. Retour sur ce moment de grosse tension dans Affaire conclue ! cafebabel.fr vous donne tous les détails.

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Julia Vignali, nouveau visage d’Affaire conclue.

Depuis cette nouvelle rentrée, c’est désormais la pétillante Julia Vignali qui nous vient de Télématin qui a repris les commandes du magazine de brocante de France 2.

Sophie Davant a passé le flambeau à l’épouse de Kad Merad au bout de six ans de bons et loyaux services à la présentation de l’émission d’enchères.

Affaire conclue : ambiance électrique entre ce vendeur têtu et les acheteurs, il refuse la vente

Lors d’un épisode d’Affaire conclue diffusé le 14 juin 2023, le programme du fin d’après-midi de la Deux accueillait un certain Frédéric venu avec une sérigraphie représentant Arthur Rimbaud.

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Après expertise de l’œuvre, Harold Hessel l’a finalement estimé à 1 800 euros. En salle des ventes, les choses ne se sont pas passées comme prévu.

Frédéric est tombé de haut face aux remarques des acheteurs. Anne-Catherine Verwaerde lui a fait comprendre que sa sérigraphie était déjà très abîmée.

« Tout simplement parce que c’est un papier journal. Et bien souvent le papier journal, il dure une journée et après, il part aux épluchures…« , tentait de se défendre le vendeur.

« Il n’est pas en bon état, ça va être compliqué... », abonde Caroline Margeridon, qui a tout de même fait une mise de 1000 euros.

Anne-Catherine Verwaerde grimpe les enchères à 1 500 euros. Mais les acheteurs avaient visiblement perdu toute envie de surenchérir, au grand dam de Frédéric.

Caroline Margeridon recadre le vendeur.

Caroline Margeridon, à ce moment-là, lui demande son avis. « Je ne sais pas quoi en penser… », répond-il, non sans déception. Ce que je peux dire pour défendre l’œuvre, c’est qu’elle va prendre de la valeur avec le temps. Le même Rimbaud, édition La Marseillaise, a été vendu 9 100 euros« , ajoute le vendeur avant que la célèbre acheteuse ne lui remette à sa place :

« Moi je pense qu’Anne-Catherine vous a déjà fait une très belle offre... », lui lance la maman d’Alexandre et de Victoire (nés de son union avec le jockey Gérald Mossé, NDLR).

« C’est une très belle offre parce que c’est vraiment dans un sale état ! », confirme Jérôme Lefranc.

À son tour, Djamel Bentenah en a rajouté une couche. « En plus, l’offre qu’elle fait par rapport à l’état… S’il n’était pas dans cet état-là, on serait tous montés beaucoup plus haut ».

« Moi, c’est l’état qui me gêne ! », poursuit l’homme à la longue chevelure rebelle.

Vexé, le vendeur stoppe tout !

Pendant que le vendeur insistait sur la rareté de la sérigraphie, Jérôme Lefranc a fini par s’offusquer : « C’est comme un vase s’il est cassé, il n’est pas restaurable. Ce n’est plus la côte ! »

Lorsqu’Anne-Catherine Verwaerde lui a invité à en faire une affaire conclue, Frédéric lui a fait comprendre qu’il ne souhaite pas descendre plus bas que l’estimation du commissaire-priseur.

« Je voudrais la faire restaurer, mais je sais que ça va coûter très cher pour la pérenniser dans le temps. Du coup, je veux bien monter à 1 600. Mais ce sera ma dernière offre… », lui confie l’antiquaire.

Après avoir pris le temps de réfléchir, le vendeur a décidé de ne pas accepter l’offre.

« Je vais malheureusement le garder. Ce n’est pas la peine de le vendre »

Ce n’est pas la première fois qu’un vendeur de l’émission refuse ainsi de céder son objet. C’est le cas d’un certain Christophe, quarante-huit ans, venu présenter une œuvre du peintre Salvador Dali des années 1930 à Harold Hessel.

« Je tombe de haut là du coup(…)Je vais malheureusement le garder. Ce n’est pas la peine de le vendre », confessait-il avant de conclure : « Je vais certainement l’encadrer ».

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