Dans cette très bonne école du pays, les élèves sont payés pour étudier. Ils touchent un salaire brut qui dépasse 1 500 euros par mois. Que demande le peuple ?
« Le taux d’admission est inférieur à 5% »
Cette grande école dispense à ses élèves, une formation « aux différents métiers de l’enseignement et de la recherche ».
« Le taux d’admission dans cette école publique est inférieur à 5%« , rapporte Le Figaro étudiant.
Comment intégrer cet établissement de renom ?
De plus, il existe trois façons d’intégrer cet établissement, à savoir le concours en CPGE, le concours étudiant, pour les jeunes inscrits à l’université française, ainsi que le concours sélection internationale, pour les étudiants inscrits dans une université étrangère.
Le concours comporte une partie écrite ainsi qu’une partie orale, où les étudiants sont sélectionnés « sur la base de leur parcours académique et de leur motivation pour une formation par la recherche« , explique l’école ouverte aux étudiants littéraires et scientifiques de niveau L2 ou L3.
Comme d’ores et déjà expliqué plus haut, l’accès à cette école publique française compte parmi les plus sélectifs du monde.
« L’école s’est régulièrement illustrée dans nombre de classements internationaux. Elle fut régulièrement classée entre le premier et troisième établissement français présents dans les classements les plus emblématiques« , vante le site.
En 2023, le taux d’admission pour la voie scientifique maths-physique et Info n’a été que de 1,9%. Quelque 2 330 étudiants intègrent l’école tous les ans.
La majorité d’entre eux provient du concours CPGE.
Plusieurs grands noms en sont diplômés dont l’ex-Chef d’État Georges Pompidou, le sociologue Pierre Bourdieu ou le très renommé biologiste Louis Pasteur. La formation des étudiants dure habituellement quatre ans.
Les élèves de cette école française très plébiscitée perçoivent 1 310 euros net par mois
Autre point fort : « les étudiants normaliens » perçoivent une rémunération de plus de 1 500 euros bruts (soit 1 310 € net) par mois. « Ils ne risquent donc pas de prendre de crédit » ou d’avoir des problèmes d’argent.
Mieux encore, ils ont un « job assuré » une fois diplômés et parce qu’ils doivent, en contrepartie de leur salaire confortable (pour un étudiant), ces élèves sont contraints de s’engager « à servir l’État » pendant au moins une dizaine d’années.
Où en trouve-t-on en France ?
Ceux qui ne tiennent pas promesse devront rembourser les rémunérations qui ont été perçues. Oui, comme vous l’aurez deviné : il s’agit de l’École normale supérieure d’Ulm, ou ENS Ulm, fondée depuis 1 764.
En France, ils sont au nombre de quatre. À part l’ENS d’Ulm, il y a celui de Paris-Saclay, de Lyon ainsi que l’ENS Rennes. Elles dispensent chacune leurs « propres formations » et ont des « critères de sélection et rémunération » différents.