Cette rare pièce de monnaie vendue à 40 000 euros !

La rédaction
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Cette rare pièce de monnaie vendue à 40 000 euros !
Cette rare pièce de monnaie vendue à 40 000 euros !-© DR

Cette rare pièce de monnaie a été vendue à 40 000 euros ! Peut-être l’avez-vous, vous aussi ? Toutes les informations à connaître ici.

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La numismatique continue à faire des passionnés…

Si le gouvernement met tout en œuvre pour enrayer la monnaie trébuchante et sonnante au profit du paiement par carte et des applications bancaires, la numismatique ne faiblit pas en 2023.

« Soit on collectionne pour le plaisir, soit on collectionne pour un investissement, en faisant du placement loisir », confiait auprès du journal Les Echos, François Blanchet de « Monnaie Magazine » en 2013.

« Mais, dans tous les cas, cela peut être un bon placement. Si vous prenez le 20 francs or du XIXe s iècle, il y a trois ans, [cette pièce] valait autour de 220 euros. Aujourd’hui, elle en vaut 350 euros. » La valeur augmente progressivement avec le temps.

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« L‘effet rareté contribue fortement à la valorisation »

Pour Christophe Beaux, « c’est un excellent placement. Depuis 2008, indiquait-il à l’époque où il officiait en qualité de président-directeur général de la Monnaie de Paris, nous éditons des pièces en or ou en argent à valeur faciale, et les prix augmentent de l’ordre de 10 à 30 %. Quelqu’un qui achète une pièce à valeur faciale peut faire rapidement une petite culbute sympathique ».

« Le tirage est plus faible que la demande, l’effet rareté contribue fortement à la valorisation », ajoutait Christophe Beaux.

« Prenez la pièce de 2 francs de 1991, tirée à seulement 2.500 exemplaires et qui peut atteindre 1.500 euros. », Illustre François Blanchet.

« Mais il faut absolument demander une facture pour pouvoir prouver la date d’achat et bénéficier de l’absence d’imposition à partir de la douzième année », souligne François Blanchet. C’est également très important pour l’assurance en cas de vol ou de sinistre.

Les pièces de 2 euros du Vatican, frappées en 2004 à 85 000 exemplaires, se vendent pour l’heure jusqu’à une centaine d’euros par pièce. Mais souvent, seules les pièces rares et les monnaies commémoratives, comme celle émise en 2007, en hommage à la princesse Grace Kelly valent leur pesant d’or.

Cette rare pièce de monnaie vendue à 40 000 euros !

« Une pièce de deux euros frappée de la princesse Grace de Monaco peut grimper jusqu’à 3000 euros », certifie Joël Cornu, numismate auprès d’actu.fr.

Les pièces fautées, présentant une erreur de fabrication telle qu’un problème de centrage peuvent rapporter gros. Mais, elles ne possèdent pas de cotation officielle en ce qui concerne leur valeur puisque celle-ci est déterminée par le marché de l’offre et de la demande.

« Une monnaie qui n’a jamais circulé a plus de valeur », ajoute celui qui est aussi PDG de CGB.fr, une société numismatique basée à Paris. Néanmoins, précise l’expert, une pièce de 2 euros n’ayant jamais circulé sur le marché ne peut vous faire gagner qu’entre « quatre et cinq euros ».

Les anciens francs ne valent plus rien après sa démonétisation par l’Etat en 2012, prévient-il. Mais il y a toujours des exceptions à la règle. « La chance peut surgir de nulle part ».

L’expert se rappelle précisément de ce jour où une personne est venue le voir avec une petite monnaie romaine. « Après expertise, il s’agissait du deuxième exemplaire connu de cet empereur. La pièce a été vendue 40 000 euros », relate-t-il.

Il est recommandé de toujours faire estimer ces pièces ou billets dont la valeur peut être importante, chez un numismate.

Le site Pieces-et-monnaies.com, expert dans la vente en ligne de pièces de collection.

Revendeur agréé de la Monnaie de Paris, le site pieces-et-monnaies.com propose à tout public un large éventail de pièces et monnaies de collection, des plus anciennes aux plus récentes, provenant de tous les coins du monde et façonnées dans divers métaux précieux.

En outre, « son équipe d’experts propose un accompagnement personnalisé sur l’ensemble du processus d’achat afin de satisfaire les différents profils de collectionneurs dans leur recherche de la perle rare ».

« En plus du collectionneur classique et de l’investisseur qui achète dans une optique de rendement, nous pouvons constater l’émergence d’un troisième profil de client, le fantaisiste, celui qui va acheter une collection sur un thème en particulier », explique Dimitri Anastassov, fondateur de la société́ et diplômé́ de l’EAC Paris « Négociant en objets d’art et de collection », comme relayé par BFM Business.

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