La vitesse est limitée à 80 km/h, mais ça n’a pas empêché la principale intéressée de se faire prendre par le radar à 149 km/h. Plus de détails dans les prochaines lignes de ce nouvel article.
Une conductrice flashée en grand excès de vitesse.
Une performance loin d’être passée inaperçue. Le 16 janvier 2024, les gendarmes de la brigade territoriale des Achards (en Vendée) ont flashé une conductrice en grand excès de vitesse. Elle empruntait l’ancienne route reliant La Roche-sur-Yon aux Sables-d’Olonne.
Il était aux alentours de 7h30 lorsque les militaires l’ont vue débouler à une allure démesurée sur la départementale 760, normalement limitée à 80 km/h.
Surprise à 149 km/h sur une départementale, cette automobiliste obtient un permis de ne plus conduire
Les gendarmes se sont lancés à sa poursuite et l’ont finalement arrêtée quelques centaines de mètres plus loin. Bien que la conductrice n’ait pas opposé de résistance, elle n’a pas pour autant gagné la sympathie des forces de l’ordre.
Son permis de conduire lui a été immédiatement retiré, sa voiture a été saisie par une dépanneuse et envoyée directement en fourrière. L’automobiliste sera bientôt convoquée devant le tribunal pour répondre de ses actes.
Un cas similaire dans le Loiret.
La même chose est arrivée à « un automobiliste à bord d’un Range Rover flashé à 149 km/h au lieu de 90 km/h sur une route départementale, la D97, à hauteur de Cercottes (dans le Loiret), en direction d’Orléans. »
Après cet excès de vitesse de plus de 50 km/h, ce conducteur s’est vu retirer son permis. Il a eu droit au même traitement que la jeune femme. En plus d’avoir perdu son sésame, son véhicule a été placé en fourrière. Il a également été convoqué au tribunal judiciaire d’Orléans.
Un autre beaucoup plus grave dans le Bas-Rhin
Un conducteur fraîchement titulaire du permis a également été intercepté à 192 km/h sur une départementale du Bas-Rhin, rapporte 20 Minutes. « Il justifie sa vitesse par le port d’un bracelet électronique ».
Ayant été testé positif à la cocaïne et au cannabis, il a justifié sa consommation de stupéfiants comme une façon de faire face aux changements dans sa vie conjugale, depuis la grossesse de sa compagne et le départ de sa mère à l’étranger pour s’occuper de ses grands-parents mourants.
Malgré sept mentions déjà présentes sur son casier judiciaire, ce père d’un bébé de 7 mois a été condamné à un an de prison sans mandat de dépôt. Il perd six points sur son tout nouveau permis de conduire, entraînant son annulation. De plus, une amende de 500 euros lui a été imposée.