Un homme, fier de sa « bonne affaire » en ayant acheté des boucles d’oreilles Cartier d’une valeur de 13 000 euros pour seulement 13 euros, a décidé de partager sur les réseaux sociaux comment il a obtenu ce prix incroyable. L’entreprise, se rendant compte un peu tard de cette opération, a tenté de l’empêcher en lui faisant de belles propositions, mais c’était en vain.
Un article en or et en diamant devenu bon marché…
Un client de la prestigieuse marque en provenance du Mexique lui a joué un tour en refusant toute négociation. Profitant d’une grosse erreur sur le site officiel de l’entreprise française lors de ses achats, cet individu n’a pas hésité à acquérir un article très recherché devenu soudain très bon marché.
En effet, des boucles d’oreilles en or et en diamant, griffées Cartier, ne lui ont coûté que quelque 13 euros. Un fait confirmé par El Mundo, avant d’être repris par plusieurs presses françaises.
« J’ai saisi l’occasion…»
Cette transaction a eu lieu en décembre 2023. Ce n’est que le 20 avril 2024 que le principal intéressé a décidé de rendre publique sa folle histoire via le réseau social X (ex-Twitter). Sans le moindre regret, l’homme a néanmoins essayé de justifier ses agissements.
« J’ai saisi l’occasion et j’ai même commandé deux paires », déclarait-il, avec une note de satisfaction, des photos à l’appui.
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Et d’ajourer aussitôt : « Vous pouvez dire que je suis un affamé, mais je doute que vous auriez manqué l’occasion », balayant ainsi tous les éventuels commentaires négatifs.
Cet e-mail qui a couté cher à l’entreprise
Ne se rendant pas immédiatement compte de son erreur, l’entreprise a d’abord validé son achat et accepté son paiement.
Après certainement une vérification ultérieure, elle a probablement remarqué l’incohérence du prix par rapport à la valeur réelle de l’article.
Cependant, au lieu de reconnaître son erreur et d’opter pour l’honnêteté, l’entreprise a choisi une autre approche.
Elle a envoyé à son client un e-mail expliquant que les boucles d’oreilles n’étaient plus disponibles en stock, proposant plutôt un remboursement exceptionnel.
Pas dupe, le Mexicain a rapidement compris la supercherie en voyant que le produit était toujours présent dans leur catalogue en ligne.
Un opportuniste ?
Estimant être victime de mensonge, il décide alors de porter l’affaire entre les mains de la justice en sollicitant en outre l’aide de l’agence de réglementation des droits des consommateurs au Mexique ( Profeco). Obtenant gain de cause, l’homme devrait obtenir la livraison de sa commande prochainement.
Jugé opportuniste par certains internautes, d’autres lui ont conseillé de faire vérifier l’authenticité des boucles d’oreille avant d’accuser réception.