Les mauvaises nouvelles n’en finissent pas ! Les conducteurs vont devoir faire avec ce tout nouveau radar ! Un véritable cauchemar pour ceux ou celles qui auront le malheur d’y faire face. Découvrez tout ce que vous devez savoir dans les prochaines lignes de ce nouvel article.
Ce nouveau radar va être le plus grand cauchemar des automobilistes
Des radars de plus en plus sophistiqués débarquent sur nos routes. Ce nouveau dispositif ne risque pas de plaire à un grand nombre d’automobilistes.
Pour le gouvernement, tous les coups sont permis pour mettre la main sur les conducteurs qui dépassent les limitations de vitesse.
Le radar en question est équipé d’une nouvelle technologie qui a la particularité d’être « efficace et discret« . Il serait même « dix fois plus efficace qu’un radar fixe classique ».
Un radar avec des caractéristiques redoutables…
En effet, ce dispositif peut enregistrer jusqu’à 3 infractions par seconde avec une précision redoutable, ce radar ne laisse aucune marge de manœuvre, n’admettant qu’une erreur de seulement 2 km/h.
Il a la capacité de flasher une voiture à une distance vertigineuse de 1 500 mètres ! Mesurant seulement 50 cm, il est facilement dissimulable derrière les panneaux de signalisation. Il est ainsi quasi indétectable. Par ailleurs, il peut également être fixé sur la carrosserie des véhicules.
Alimenté par une connexion internet, ce radar dispose d’une autonomie d’environ huit heures. Ce radar est connu sous son appellation de « velolaser ».
Comme expliqué dans les colonnes d’El Periodico de Espana, il peut prendre contrôle des distances de sécurité, et ce, dans les deux sens de circulation et sur trois voies en même temps. « Sa plage de vitesses est comprise entre 30 et 250 km/h », indique largus.fr.
« Mobile, il peut fonctionner sur batterie et être piloté à distance par drone ou hélicoptère par la Guardia Civil(…) Comme les radars chantiers en France, il est déplaçable sur n’importe quel poteau, véhicule ou rambarde, prêt à l’emploi en moins de 1 minute, de jour comme de nuit ».
60 radars de ce type installés dans tout le pays.
Rassurez-vous, jusqu’à présent, c’est le long des routes espagnoles que la Direction générale du trafic (DGT) prévoit d’installer ces dispositifs. La France n’est pas encore concernée. Mais il se pourrait qu’un radar du genre débarque dans l’Hexagone. On sait tous combien ces dispositifs servent à l’Etat.
Selon les informations relayées par nos confrères de Sud-Ouest, les autorités espagnoles ont déjà mis en place 60 de ces radars à travers tout le pays.
En ce qui concerne la France, notons que la législation impose que « les radars fixes, installés sur le bord des routes, doivent impérativement être signalés » aux conducteurs « par une signalétique visible« , en stricte conformité avec le Code de la route.
En dépit de législations similaires à celles de la France, l’Espagne n’arrête pas pour autant l’installation de ces radars derrière des rambardes de sécurité ou des panneaux, hors de la vue des conducteurs, comme on peut voir dans les clichés partagés sur le compte Twitter @SocialDrive_es.
Les associations de défense des automobilistes montent au créneau et crient à l’illégalité.
En réponse, des associations de défense des automobilistes dénoncent avec véhémence ces pratiques illégales, exhortant les conducteurs flashés en voiture ou à moto à déposer une réclamation si le « Velolaser » a capturé leur plaque d’immatriculation sans qu’il ne soit monté sur un trépied, condition légale pour déclencher le flash.
En France, l’arrivée de 300 « Velolaser » sur les routes était prévue pour l’année 2023 mais leur déploiement a été reporté pour le moment.
Selon L’argus, « tous ceux qui annoncent pour « bientôt » cet appareil sur les routes de France se trompent ».Ainsi, les automobilistes français n’ont, pour l’instant, aucune raison de s’inquiéter à ce sujet.