Après avoir déposé une plainte et mené plusieurs mois de négociations avec les squatteurs, au cours desquels il leur avait même proposé plusieurs milliers d’euros, le propriétaire, poussé à bout, a pris une décision radicale : « Je n’avais pas d’autre solution ».
Un fléau national…
Le squat est devenu un fléau qui touche chaque année de plus en plus de propriétaires à travers le territoire français.
Lorsqu’un logement est investi par des occupants illégaux, il est souvent difficile de les faire partir.
Dans la plupart des cas, les conflits se règlent par des confrontations violentes ou des coups de force.
Ce qui complique encore la tâche des propriétaires, c’est que, en France, il suffit d’ouvrir un contrat d’électricité pour obtenir un justificatif de domicile.
Pour cela, il n’est exigé de fournir qu’un nom, un prénom, une adresse e-mail et un numéro de téléphone. Une procédure qui peut être effectuée en quelques minutes seulement.
En connaissant cette faiblesse du système, les squatteurs n’hésitent pas à en abuser, et le logement occupé illégalement devient ainsi leur résidence de fait.
Le danger de se faire justice
La loi interdit aux propriétaires de déloger eux-mêmes les squatteurs, surtout s’ils font usage de la force.
Si cela se produit, ils s’exposent à une lourde sanction : une amende de 30 000 euros et une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à trois ans.
Si les propriétaires souhaitent faire partir les squatteurs, ils doivent suivre la voie légale. Cependant, avant que la justice ne prononce une décision d’expulsion, la procédure peut durer plusieurs mois, voire des années.
Et l’application de la trêve hivernale qui débute au 1ᵉʳ novembre ne fait que complexifier les démarches.
La colère finit toujours par l’emporter
Privés de loyers et voyant leur bien se dégrader, les propriétaires finissent par perdre patience et sont tentés de se faire justice eux-mêmes.
C’est précisément ce qui est arrivé à ce Brestois. Se sentant lésé par la justice, il a tout simplement démoli son appartement pour expulser les squatteurs qui occupaient illégalement son bien depuis plusieurs mois.
Au départ, l’homme avait déposé une plainte au commissariat de sa ville. N’ayant pas obtenu de réponse, ce propriétaire a approché les squatteurs pour négocier leur départ.
Mais ses efforts ont échoué. Il leur a alors proposé une somme de 2 000 euros pour parvenir à ses fins, mais l’offre a été déclinée par la famille roumaine.
« J’ai donc écarté leurs affaires et… »
Finalement, un matin, profitant de l’absence des squatteurs, le propriétaire est venu avec des masses et des barres à mine pour démolir son appartement.
« Je n’avais pas d’autre solution. Je passe devant tous les jours et je me suis aperçu qu’il n’y avait personne. J’ai donc écarté leurs affaires et commencé les travaux.«
C’est vrai chapeau, moi j’ai un exemple très très simple
Un parent=état (la loi )ou présidant
Peuple=enfants
Alors si le parent ne protège pas son enfant des agressions
À la fin l’enfant va se rebeller
Parce qu’il voit que son père ou le parent ne fait rien pour le défendre
Alors on se permet de faire la loi nous même, il y a que des gens qui travaillent qui respectent la loi parce qu’on touche à la portefeuille
Mais quand on est insolvable on a rien à faire on reste rien parce que il y a rien à prendre alors on s’en fiche il y a toujours les couillons qui payent pour c’est gent