Entre 26 000 et 35 000 euros brut : ce métier bien payé, accessible sans diplôme, recrute

« Entre 26 000 et 35 000 euros brut » : ce métier bien payé, accessible sans diplôme, recrute

La rédaction
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Durée de lecture : 3 minutes
« Entre 26 000 et 35 000 euros brut » : ce métier bien payé, accessible sans diplôme, recrute !-© iStock

En reconversion ou à la recherche d’un nouveau métier, ce secteur, peu connu, mais accessible même aux profils sans diplôme, offre une très bonne rémunération.

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Un schéma classique…

En France et un peu partout dans le monde entier, il est généralement « plus difficile de trouver un métier ne nécessitant aucune qualification et offrant d’emblée des rémunérations intéressantes », note le directeur général du cabinet de chasse de tête Headhunting Factory, Godefroy Jordan, dans les colonnes du Figaro.

De plus, la grande majorité des recruteurs ne prêtent pas attention aux profils ne correspondant pas aux critères basés sur les diplômes.

Heureusement, il y a des exceptions

De nombreux métiers peuvent cependant être exercés sans exiger de compétences particulières, et encore moins de diplômes. Ce sont des métiers où l’on peut effectivement apprendre et évoluer au fur et à mesure sur le terrain.

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Les fast-foods, l’hôtellerie, la restauration, les services à la personne, la sécurité et le BTP sont les principaux secteurs d’activités les plus ouverts aux profils sans diplômes.

Pour s’adapter et espérer évoluer dans ces domaines, il est souvent demandé à chaque candidat d’avoir une ouverture d’esprit et une bonne motivation.

Un métier ouvert et très rémunérateur pour les autodidactes

Si le salaire n’est pas toujours satisfaisant dans certains des domaines d’activités sus-cités, les personnes sans diplôme, mais autodidactes, peuvent également se tourner vers le métier de commercial, connu pour être très rémunérateur. Sinon, le métier de cordiste permet aussi d’avoir de bons salaires.

Les domaines d’intervention dans le cadre des travaux en hauteur sont variés, tels que le nettoyage d’équipements, le montage de structures métalliques, la restauration de bâtiments, l’installation de filets de protection, etc.

Le métier très recherché, mais qui peine à recruter

Des mains d’œuvre de plus en plus recherchées ces dernières années, « surtout dans les grandes agglomérations, où les constructions en hauteur et les tours de bureaux sont nombreuses », constate Godefroy Jordan.

Entre 2019 et 2023, les prestations de cordiste ont connu une hausse de l’ordre de 30%, affirme le responsable de Headhunting Factory.

« En moyenne, les cordistes touchent une rémunération annuelle comprise entre 26 000 et 35 000 euros brut, en fonction de leur expérience », estime le directeur général du cabinet. « Des montants élevés au regard de l’absence de qualification de certains profils », a-t-il fait mention.

Malgré ce bon salaire, le métier du cordiste peine à recruter. Et ce n’est pas sans raison. « Du fait de la pénibilité du métier, les cordistes sont peu nombreux sur le marché. C’est un poste pénurique », a-t-il expliqué.

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